Ce que le LKP fait de la Guadeloupe
Plage des "raisins clairs" à Saint François.
La signification DE LKP : Lyannaj Kont Pwofitasyon, pourrait se traduire ainsi : association contre le profit, les profiteurs.
Ce collectif est mené par Eli DOMOTA secrétaire général de l'UGTG (Union Générale des Travailleurs Guadeloupéens, qui se revendique indépendentiste) et directeur adjoint de l'ANPE.
Monsieur DOMOTA n'aura pas non plus hésité à utiliser ce slogan "la Gwadloup, sé ta nou, la Gwadloup, sé pa ta yo" (la Guadeloupe, c'est à nous, la Guadeloupe, c'est pas à vous), qui incite plus à la rancoeur, qu'à appaiser le conflit ; et dans ce slogan "transpire" l'aspect identitaire, plus ou moins exprimé, des revendications. Et là les confusions risquent d'être grandes ! Le temps de l'esclavage est terminé depuis longtemps, il ne faut confondre patrons et esclavagistes.
Oui, la vie est chère en Guadeloupe ; le coût des courses alimentaires a explosé avec l'euro ; alors forcément certains en profitent, mais pas uniquement les békés (il faut être réaliste).
Ce qui se passe en ce moment va avoir des conséquences, déjà mesurables, sur l'économie de l'île.
Les touristes ont déserté, revientront-ils prochainement ? Air France ne délivre plus de réservation par internet, les hôteliers ont vu leur clientèle annuler les réservations !
A quelques jours du Carnaval, c'est une forte partie de cette économie qui subie les conséquences de ce mouvement trop dur, pour qu'une petite île sans relève avant longtemps.
Les enfants, les collégiens, lycéens, étudiants n'ont plus de cours assurés de plus d'un mois..... les retards scolaires seront remarquables pour beaucoup.
Et les profs seront-ils payés ? bénéficieront-ils de leur prime de 40% ? ainsi que tous les autres fonctionnaires de l'île ? Qui soutiennent le conflit ! !
Nouvelles fraîches d'amis sur l'île : des petits artisans qui ne peuvent continuer leurs chantiers, plus de matériaux disponibles, plus d'essence !
Alors le gouvernement va-t-il demander, exiger des entreprises de verser un complément de salaire de 200 euros aux petits revenus (qui sont majoritaires). Les entreprises pourront-elles assumer cette augmentation ?
Mais alors pourquoi pas aussi en métropole, les courses alimentaires y sont moins chers, mais pas les loyers, pas les frais de transport, pas le chauffage, pas les frais gardes des enfants, pas les impôts, en bref pas la vie quotidienne !
Ce collectif est mené par Eli DOMOTA secrétaire général de l'UGTG (Union Générale des Travailleurs Guadeloupéens, qui se revendique indépendentiste) et directeur adjoint de l'ANPE.
Monsieur DOMOTA n'aura pas non plus hésité à utiliser ce slogan "la Gwadloup, sé ta nou, la Gwadloup, sé pa ta yo" (la Guadeloupe, c'est à nous, la Guadeloupe, c'est pas à vous), qui incite plus à la rancoeur, qu'à appaiser le conflit ; et dans ce slogan "transpire" l'aspect identitaire, plus ou moins exprimé, des revendications. Et là les confusions risquent d'être grandes ! Le temps de l'esclavage est terminé depuis longtemps, il ne faut confondre patrons et esclavagistes.
Oui, la vie est chère en Guadeloupe ; le coût des courses alimentaires a explosé avec l'euro ; alors forcément certains en profitent, mais pas uniquement les békés (il faut être réaliste).
Ce qui se passe en ce moment va avoir des conséquences, déjà mesurables, sur l'économie de l'île.
Les touristes ont déserté, revientront-ils prochainement ? Air France ne délivre plus de réservation par internet, les hôteliers ont vu leur clientèle annuler les réservations !
A quelques jours du Carnaval, c'est une forte partie de cette économie qui subie les conséquences de ce mouvement trop dur, pour qu'une petite île sans relève avant longtemps.
Les enfants, les collégiens, lycéens, étudiants n'ont plus de cours assurés de plus d'un mois..... les retards scolaires seront remarquables pour beaucoup.
Et les profs seront-ils payés ? bénéficieront-ils de leur prime de 40% ? ainsi que tous les autres fonctionnaires de l'île ? Qui soutiennent le conflit ! !
Nouvelles fraîches d'amis sur l'île : des petits artisans qui ne peuvent continuer leurs chantiers, plus de matériaux disponibles, plus d'essence !
Alors le gouvernement va-t-il demander, exiger des entreprises de verser un complément de salaire de 200 euros aux petits revenus (qui sont majoritaires). Les entreprises pourront-elles assumer cette augmentation ?
Mais alors pourquoi pas aussi en métropole, les courses alimentaires y sont moins chers, mais pas les loyers, pas les frais de transport, pas le chauffage, pas les frais gardes des enfants, pas les impôts, en bref pas la vie quotidienne !